Journal d’arrière-garde: 26 septembre 2019


On ne vit vraiment que ce qu’on raconte, écrit sur la toile un auteur qui n’a qu’un nom éphémère, dix secondes sous mes yeux, juste le temps pour que l’araignée le dévore.

Qui raconte? Qui vit?

Je ne veux plus me raconter des histoires. Parce qu’on doit choisir: vivre ou raconter sa vie. Cette fois le nom est bien inscrit sur le sable de ma memoire: Albert Camus.

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